LA FEMME CACHÉE

Halima, une Française d’origine algérienne, est enceinte de son deuxième enfant. Quand elle apprend qu’elle aura, cette fois, un garçon, des souvenirs traumatiques refont surface. Elle doit alors avouer à son mari québécois, Sylvain, qu’elle lui a menti sur sa famille pendant toutes ces années. Elle n’est pas orpheline comme elle l’a toujours soutenu : son père, sa mère, ses sœurs et ses frères sont bien vivants. Halima annonce du même coup à Sylvain qu’elle a besoin de retourner en France. Comme celui–ci refuse de la laisser partir seule, ils s’envolent ensemble vers l’Europe, avec leur jeune fille Léa. Sur place, Sylvain suivra sa femme dans ce pèlerinage pour se réparer, apprenant progressivement sur les blessures profondes de celle–ci. Jamais il ne s’attendait à de telles révélations
CINÉMA PRINCESS

• Le climat de tension et d’angoisse, fortifié par le motif entêtant du couloir désert dans la maison d’enfance, est habilement forgé. Antoine Bertrand
  (LOUIS CYR, AU REVOIR LE BONHEUR) campe l’époux compréhensif avec un mélange d’humour, de fermeté et de sensibilité.
  MEDIAFILM 

• Avec son jeu tout en subtilité où elle dit beaucoup avec ses silences, Naïlia Harzoune offre une belle performance d’actrice et Antoine Bertrand est excellent dans le rôle de ce père sensible et aimant poussé dans ses derniers retranchements. Les émotions qu’il joue à mesure qu’il apprend les terribles secrets de famille ont l’air d’être franchement ressenties et viennent bien appuyer la trame narrative.
  Le Droit

• En fin de compte, même s’il aborde des thèmes durs, La femme cachée demeure un film nécessaire : il pousse le public à réfléchir sur le sens de la famille et sur la possibilité d’améliorer le destin humain par la volonté. « Halima apprend à se sauvegarder pour sauvegarder ceux et celles qu’elle aime », affirme Bachir Bensaddek.
  CINEPLEX.COM