MAGNIFICAT

À la mort d’un prêtre, la chancelière du diocèse (Karin Viard) découvre abasourdie qu’il s’agissait d’une femme ! Contre l’avis de son évêque (François Berléand) qui souhaite étouffer l’affaire, elle mène l’enquête pour comprendre comment et avec quelles complicités une telle imposture a été possible…

• • En levant le voile sur quelques interdits religieux, Virginie Sauveur et Nicolas Silhol signent un film habile sur l’imposture et la manipulation…  Le premier long-métrage de Virginie Sauveur… vaut surtout pour son enquête mystérieuse et captivante, soutenue par un scénario justement rythmé entre comédie et authentiques révélations. En dehors de l’aspect religieux, Magnificat pose un regard curieux et presque étonné sur ces êtres, à la fois prisonniers et victimes de croyances d’un autre âge, donnant une dimension particulièrement humaine à ce qui s’annonçait comme un thriller clérical.
    Claudine Levanneur – aVoir-aLire
  • Virginie Sauveur… traite le sujet avec quiétude et une pointe de curiosité ironique… le récit aborde des questions existentielles (les femmes dans l’Eglise, le sexe des anges, le silence de la hiérarchie)… Karin Viard… donne élégance et densité à ce film méditatif et très inattendu.
    François Forestier – L’Obs
  • Le premier film de Virginie Sauveur évoque avec tact le tabou des femmes prêtres dans l’église. Karin Viard est épatante.
    Olivier Delcroix – Le Figaro
  • Formidable d’empathie dans le rôle de la chancelière, Karin Viard nous amène petit à petit à nous interroger sur ces sujets en s’affranchissant des caricatures et des tabous.
    Le Parisien

Sujet pour auditoire adulte

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